30/09/2011 09:00
Rapport financier semestriel
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INFORMATION REGLEMENTEE

A.- Etats financiers consolidés résumés au 30 juin 2011


I.- Bilan consolidé au 30 juin 2011

(en euros)

ACTIF Notes 30/06/2011 31/12/2010

Ecarts d'acquisitions 2.4 - 5 5 978 707 4 243 946



Immobilisations incorporelles 2.5.1 1 077 298 229 020

Immobilisations corporelles 2.5.2 10 492 049 10 383 778

Impôts différés actifs 2.5.3 - 6 1 202 497 777 582

Actifs financiers non courants 2.5.4 262 031 100 385




ACTIF NON COURANT 19 012 582 15 734 711


Stocks et en-cours 2.7.1 - 7 5 099 428 3 806 210

Clients & comptes rattachés 2.7.2 - 8 38 662 393 37 561 245

Autres actifs courants 2 766 859 2 188 190

Actifs financiers courants 2.7.3 - 9 - -
(Obligations, actions)

Trésorerie et équivalents de trésorerie 2.7.4 - 9 15 431 935 16 947 317
(Dépots à Terme, SICAV monétaire et Liquidités )

ACTIF COURANT 61 960 615 60 502 962


TOTAL DE L'ACTIF 80 973 197 76 237 673
PASSIF Notes 30/06/2011 31/12/2010

Capital social 10 1 986 574 1 986 574

Primes liées au capital 10 877 667 877 667

Réserves consolidées 26 722 292 24 341 438

Résultat net de l'exercice 3 130 330 6 345 376

CAPITAUX PROPRES 32 716 863 33 551 055

Engagements sociaux 2.8 - 11 1 976 321 1 423 017

Dettes financières à long terme (plus d'un an) 2.9.1 7 729 032 5 283 042

Impôt différés passif 2.5.3 - 6 377 288 312 807

PASSIF NON COURANT 10 082 641 7 018 866

Provision pour autres passifs non courants 2.9.2 - 12 915 162 964 345

Dettes financières à court terme ( moins d'un an) 2.9.1 1 750 240 1 337 694

Fournisseurs & comptes rattachés 12 244 482 11 161 031

Autres passifs courants 23 263 809 22 204 682




PASSIF COURANT 38 173 693 35 667 752


TOTAL DU PASSIF & CAPITAUX PROPRES 80 973 197 76 237 673




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II.- Compte de résultat consolidé - Résultat Global

(en euros) NOTES 30/06/2011 30/06/2010 31/12/2010

CHIFFRE D'AFFAIRES 2.10.1 57 958 953 45 636 316 100 317 846

Production stockée 145 880 91 805 342 207

PRODUCTION 58 104 833 45 728 121 100 660 053

Autres produits de l'activité 1 597 10 525 69 816

Achats consommés - 16 253 747 - 12 217 412 - 28 042 578

Charges de Personnel - 27 352 001 - 22 745 024 - 47 557 685

Charges externes - 7 979 293 - 6 262 295 - 13 648 412
Impôts et taxes - 1 202 756 - 1 060 952 - 2 055 469

EBITDA 5 318 633 3 452 963 9 425 725

Dotations nettes aux amortissements - 713 659 - 581 360 - 1 173 501

Dotations nettes aux provisions 82 649 214 567 181 563

RESULTAT OPERATIONNEL COURANT 2.10.2 4 687 623 3 086 170 8 433 787

Autres produits opérationnels 2.10.3 - 13 145 243 1 264 875 1 291 129

Autres charges opérationnelles 2.10.3 - 13 - 99 356 - 48 464 - 219 402

RESULTAT OPERATIONNEL 4 733 510 4 302 581 9 505 514

Produit de Trésorerie (a) 171 454 100 548 234 420

Cout de l'endettement financier brut (b) - 141 179 - 122 095 - 230 823

Cout de l'endettement financier net (c):(b)-(a) 30 275 - 21 547 3 597

Autres produits financiers (d) 56 898 163 230 203 939

Autres charges financieres (e) - 94 828 - 27 804 - 127 700

RESULTAT FINANCIER (c) + (d) + (e) 14 - 7 655 113 879 79 836

Charge d'impôt - 1 595 525 - 1 553 726 - 3 239 974

RESULTAT NET 3 130 330 2 862 734 6 345 376

RESULTAT/ ACTION (€) 2.10.4 - 15 1.59 1.44 3.21

RESULTAT DILUE/ACTION (€) 2.10.4 - 15 1.59 1.44 3.21


Etat du résultat et des gains et pertes comptabilisés directement en
capitaux propres 31/12/2010 30/06/2010 31/12/2010
RESULTAT NET 3 130 330 2 862 734 6 345 376
Gains (pertes) actuariels sur avantages au personnel - 245 734 60 199 7 877
Impot sur gains (pertes) actuariels 81 911 - 20 066 - 2 626
RESULTAT GLOBAL 2 966 507 2 902 867 6 350 627




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III.- Tableau de variation des capitaux propres.

Capital Réserves Résultat enregistré Résultat Total
social consolidées directement en consolidé
(en Euros) capitaux propres

Soldes au 31 décembre 2009 1 986 574 23 291 437 -44 811 4 539 794 29 772 994
Variation achat / vente titres d'auto-
détention -9 676 -9 676
Moins values nettes sur cessions
titres d'auto-détention -1 553 -1 553
Ajustement s/ Compte N-1 6 031 6 031
Résultat de l'exercice précédent 4 539 794 -4 539 794 0
Dividendes -2 282 099 -2 282 099
Résultat de l'exercice 2 862 734 2 862 734
Gains (pertes) actuariels (IAS19) 40 133 (1) 40 133
Soldes au 30 juin 2010 1 986 574 25 543 934 -4 678 2 862 734 30 388 564

Résultat Global y compris (1) 2 902 867

Capital Réserves Résultat enregistré Résultat Total
social consolidées directement en consolidé
(en Euros) capitaux propres

Soldes au 31 décembre 2009 1 986 574 23 291 437 -44 811 4 539 794 29 772 994
Variation achat / vente titres d'auto-
détention -296 678 -296 678
Plus values nettes sur cessions
titres d'auto-détention 180 180
Ajustement s/ Compte N-1 6 032 6 032
Résultat de l'exercice précédent 4 539 794 -4 539 794 0
Dividendes -2 282 099 -2 282 099
Résultat de l'exercice 6 345 376 6 345 376
Gains (pertes) actuariels (IAS19) 5 251 (1) 5 251
Soldes au 31 décembre 2010 1 986 574 25 258 666 -39 560 6 345 376 33 551 056
Variation achat / vente titres d'auto-
détention 5 695 5 695
Plus values nettes sur cessions
titres d'auto-détention 4 975 4 975
Ajustement s/ Compte N-1 209 209
Résultat de l'exercice précédent 6 345 376 -6 345 376 0
Dividendes -3 811 580 -3 811 580
Résultat de l'exercice 3 130 331 3 130 331
Gains (pertes) actuariels (IAS19) -163 823 (1) -163 823
Soldes au 31 décembre 2010 1 986 574 27 803 341 -203 383 3 130 331 32 716 863

Résultat Global y compris (1) 2 966 508

(1) :
En euros 30.06.2011 31.12.2010 30.06.2010

Gains (pertes) actuariels sur avantages au personnel -245 734 7 877 60 199
Impot sur gains (pertes) actuariels 81 911 -2 626 -20 066

Profit net comptabilisé directement en capitaux propres -163 823 5 251 40 133




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IV.- Tableau des flux de trésorerie.
30 juin 2011 31 décembre 2010 30 juin 2010

4 725 855 9 585 350 4 416 460
Résultat avant IS
1) Elimination des charges et produits sans incidence
sur la trésorerie ou non liés à l'activité :

1 592 855 858 669
Amortissements et provisions 677 629
Charges d'impots -3 239 974 -1 553 996
-1 595 525
- Plus / + Moins-values de cession (2) -1 160 954 -1 218 103
-44 820

M arge brute d'autofinancement 3 763 139 6 777 277 2 503 030

Variation des stocks et en-cours -1 207 935 -1 450 352 -875 289
Variation des créances + EENE et autres créances d'exploitation -387 819 -4 687 256 -217 257
Variation des dettes fournisseurs et autres dettes d'exploitation -43 574 4 840 133 1 162 487
Variation des dettes hors exploitation -18 697 599 034 693 479
Variation du besoin en fonds de roulement lié à l'activité -1 658 025 -698 441 763 420
Flux net de trésorerie généré par l'activité 2 105 114 6 078 836 3 266 450

2) Flux de trésorerie liés aux opérations d'investissement
Acquisition d'immobilisations -778 545 -2 777 072 -1 227 441
Cession d'immobilisations (2) 81 367 1 236 265 1 264 874
Incidence variation de périmètre -1 972 071
Flux net de trésorerie lié aux opérations d'investissement -2 669 249 -1 540 807 37 433
3) Flux de trésorerie liés aux opérations de financement :
Dividendes versés -3 811 580 -2 282 099 -2 282 099
Augmentation de capital en numéraire
Réduction de capital en numéraire
Cession des titres d'auto-détention 567 705 794 835 404 822
Rachat des titres -562 009 -1 091 513 -416 998
Souscription d'emprunts 3 601 500 1 920 000 1 750 000
Remboursement d'emprunts -746 863 -1 646 064 -793 308

Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement -951 247 -2 304 841 -1 337 583

-1 515 382 2 233 188 1 966 300
Variations de trésorerie

16 947 317 14 714 129 14 714 129
Trésorerie d'ouverture (1)

Trésorerie de clôture (1) 15 431 935 16 947 317 16 680 429


(1) Non compris les titres détenus en auto-détention pour 336 416 342 111 55 108

(2) Dont indemnité d'assurance liée à la destruction d'actifs 26 668 1 186 465 1 220 793




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V.- Notes aux états financiers consolidés
La présente note aux états financiers fait partie intégrante des états financiers consolidés
résumés du 30 juin 2011, arrêtés par le Directoire du 28 septembre 2011.
Présentation de l’entreprise

Gérard Perrier Industrie, société mère du groupe, est une société de droit français constituée
en 1988, dont le siège social est situé 119 route d’Heyrieux à Saint Priest.
L’ensemble des informations données ci-après est exprimé en euros, sauf indication contraire.

Note 1.-Faits particuliers de l’exercice
Achèvement et mise en service du siège de la filiale Ardatem à Bourg Saint Andéol en
Janvier 2011.

Le 6 mai, la SAS GERAL a acquis l’intégralité du capital de la société SERA dont
l’activité d’ingénierie électrique et d’informatique industriel dans l’agro-alimentaire
complète l’offre de services du groupe.

Dans le prolongement de l’acquisition de SERA, nous avons procédé à une
augmentation de capital de SERA par incorporation des réserves à hauteur de 460 K€,
portant le capital de SERA à 500 K€.


Note 2.- Méthodes d’évaluation et principes de consolidation.

2.1- Nouvelles normes et interprétations IFRS


Les états financiers semestriels résumés portant sur la période de 6 mois du 1er janvier 2011
au 30 juin 2011 du groupe Gérard Perrier Industrie ont été préparés en conformité avec :
• la norme internationale d’information financière IAS 34, relative à l’information
intermédiaire,
• et les autres normes comptables internationales (constituées des IFRS, des IAS, de leurs
amendements et de leurs interprétations) qui ont été adoptées par l’Union Européenne au
30 juin 2011 et qui sont disponibles sur le site internet :
http://ec.europa.eu/internal_market/accounting/ias_fr.htm#adopted-commission.

En application de la norme IAS 34, seule une sélection de notes explicatives est incluse dans
les présents états financiers dits résumés.

2.1.1- Nouvelles normes et interprétations adoptées par l’Union Européenne et
applicables de manière obligatoire en 2011.

Les normes et interprétations applicables à compter du 1er janvier 2011 n’ont pas d’impact
sur les comptes du groupe Gérard Perrier Industrie. Elles sont pour la plupart non applicables.




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2.1.2- Normes et interprétations adoptées par l’Union Européenne avant la date de
clôture, et qui entrent en vigueur postérieurement à cette date.

Le groupe Gérard Perrier Industrie a choisi de ne pas appliquer par anticipation les normes et
interprétations adoptées par l’Union Européenne avant la date de clôture, et qui rentrent en
vigueur postérieurement à cette date. Le groupe n’anticipe pas, compte tenu de l’analyse en
cours, d’impact significatif sur ses capitaux propres.

2.1.3- Normes et interprétations d’application obligatoire ou facultative en 2011 et non
encore adoptées au niveau européen.

Le groupe ne s'attend pas à ce que les normes et interprétations, publiées par l'IASB, mais non
encore approuvées au niveau européen, aient une incidence significative sur ses états
financiers, à l’exception de la norme IAS 19 révisée, concernant la comptabilisation des
avantages postérieurs à l’emploi. Cette norme a été approuvée par l’IASB en juin 2011, et
devrait être adoptée par la Commission Européenne fin 2011. Elle ne rentrera en vigueur que
pour les exercices ouverts à compter du 1er janvier 2013, sauf adoption anticipée que le
groupe n’envisage pas de retenir.

2.2- Estimations et hypothèses de la Direction

La préparation des états financiers consolidés amène la Direction à recourir à des hypothèses
et à des estimations dans la mise en œuvre des principes comptables pour valoriser des actifs
et des passifs ainsi que des produits et des charges pour la période présentée. Les montants
réels pourront être différents de ces estimations.

Les principales estimations faites par la Direction portent notamment sur les hypothèses
retenues pour le calcul des engagements de retraite, les provisions et les montants
comptabilisés au titre des chantiers en cours à la clôture (estimations à fin d’affaires).

2.3- Méthode de consolidation

Les sociétés dans lesquelles Gérard Perrier Industrie détient directement ou indirectement le
contrôle de manière exclusive sont consolidées par intégration globale.
Les sociétés dans lesquelles le Groupe ne détient pas d'influence notable et n'exerce pas de
contrôle, et dont la contribution aux capitaux propres et au résultat d’ensemble n’est pas
significative, ne sont pas consolidées.
La liste des sociétés comprises dans le périmètre de consolidation est mentionnée en note 3.
Les transactions entre les sociétés du Groupe (achats, ventes, dividendes, créances, dettes,
provisions,…) sont éliminées.

2.4- Goodwill

Les goodwill représentent la différence entre le coût d’acquisition (y compris les frais
d’acquisition) des titres des sociétés consolidées et la part du Groupe dans la juste valeur de
leurs actifs nets identifiables à la date des prises de participation. Ces goodwill constituent
donc les écarts résiduels après affectation des éléments d’actif et de passif, évalués à leur juste
valeur à la date d’acquisition. Ces écarts sont calculés selon la méthode de l’acquisition
conformément à la norme IFRS 3 sur les regroupements d’entreprises. La juste valeur est le




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montant qui peut être obtenu de la vente d’un actif ou d’une Unité Génératrice de Trésorerie
(UGT) lors d’une transaction dans des conditions de concurrence normale.
Les goodwill sont calculés individuellement mais affectés à l’Unité Génératrice de Trésorerie
correspondante, en fonction des synergies attendues par le Groupe.
Les métiers (Installations / Maintenance, Fabrication, Energie) ont été retenus comme Unité
Génératrice de Trésorerie.
Les goodwill des sociétés acquises au cours de l’exercice pourront faire l’objet d’ajustements
durant une période de 12 mois à compter de la date d’acquisition, si des informations
complémentaires permettent d’obtenir une estimation plus précise des justes valeurs des actifs
et passifs acquis.
Le goodwill comptabilisé correspond ainsi à l’écart entre le coût d’acquisition et la valeur
comptable des actifs et passifs. Conformément à la norme IAS 36, les goodwill sont évalués à
la clôture à leur coût diminué des éventuelles pertes de valeur, comme décrit en note 2.7. En
cas de diminution de valeur, la dépréciation est enregistrée en résultat opérationnel.

2.5- Actifs non courants

2.5.1- Immobilisations incorporelles

La norme IAS 38 définit l’immobilisation incorporelle comme un actif non monétaire
identifiable et sans substance physique. Il peut être séparable ou issu d’un droit contractuel et
légal. Lorsque l’immobilisation incorporelle a une durée de vie définie, elle est amortissable.
Les immobilisations à durée de vie non définie ne sont pas amortissables mais font l’objet
d’un test de dépréciation à chaque clôture conformément à la norme IAS 36.
Les immobilisations incorporelles comptabilisées au sein du Groupe sont ainsi valorisées au
coût d’acquisition, il s’agit pour l’essentiel de :
logiciels informatiques amortis linéairement sur leur durée d’utilisation prévue, soit 3
à 5 ans,
clientèle acquise.

2.5.2- Immobilisations corporelles

Conformément à la norme IAS 16 « Immobilisations corporelles », la valeur brute des
immobilisations corporelles correspond à leur coût d’acquisition y compris les frais
accessoires. Elle ne fait l’objet d’aucune réévaluation.

Les constructions, sont enregistrées en suivant l’approche par composants selon le plan
suivant :
Infrastructure, menuiseries extérieures : durée d’amortissement fixée à 25 ans,
Agencements, équipements intérieurs : durée d’amortissement fixée à 15 ans.

Aucun autre retraitement n’est effectué dans la mesure où les modalités et durées
d’amortissement retenues par les sociétés sont homogènes entre elles.




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L’amortissement est calculé selon le mode linéaire sur la durée d’utilité estimée de l’actif ou
de ses différents composants s’ils ont des durées d’utilité différentes, soit :
Constructions …………………………………. : 15 à 25 ans
Installations techniques, matériel et outillage … : 5 à 7 ans
Agencements et installations ………………….. : 10 ans
Matériel de transport ………………………….. : 4 à 5 ans
Matériel de bureau et informatique …………… : 3 à 5 ans
Mobilier ……………………………………….. : 8 à 10 ans

2.5.3- Impôts différés

Conformément à la norme IAS 12 « Impôts sur le résultat », des impôts différés sont constatés
sur les différences temporaires entre les valeurs comptables des actifs et des passifs et leurs
valeurs fiscales, ainsi que sur les déficits fiscaux, selon la méthode du report variable.
Les différences sont temporaires lorsqu’elles doivent s’inverser dans un avenir prévisible. Les
actifs d’impôts différés relatifs aux déficits fiscaux reportables ne sont comptabilisés que dans
la mesure où il existe une probabilité raisonnable de réalisation ou de recouvrement.
La position nette retenue au bilan est le résultat de la compensation entre créances et dettes
d’impôts différés par entité fiscale suivant les conditions prévues par la norme IAS 12. Les
impôts différés au bilan ne sont pas actualisés.
Les actifs et passifs d’impôts différés sont évalués aux taux d’impôt dont l’application est
attendue sur l’exercice au cours duquel l’actif sera réalisé ou le passif réglé, sur la base des
taux d’impôt (et des réglementations fiscales) qui ont été adoptés ou quasi adoptés à la date de
clôture.
Les actifs et passifs d’impôt différés peuvent être enregistrés par contrepartie en compte de
résultat ou en capitaux propres en fonction de la comptabilisation des éléments auxquels ils se
rapportent.

2.5.4 –Actifs financiers non courants

Les actifs financiers comprennent les titres immobilisés, les prêts, les dépôts et
cautionnements versés au titre des contrats de location simple. Ces montants ne sont pas
significatifs. Ils figurent au bilan pour leur valeur nominale, sous déduction des dépréciations
estimées, déterminées en fonction de la valeur d’utilité.

2.6- Suivi de la valeur des actifs immobilisés (y compris Goodwill)

Selon la norme IAS 36 « Dépréciation d’actifs », la valeur recouvrable des immobilisations
corporelles et incorporelles, dont la durée de vie est déterminée, est testée dès l’apparition
d’indices de pertes de valeur, passés en revue à chaque clôture annuelle ou plus fréquemment
si des événements internes ou externes le justifient.
Les goodwill, dont la durée de vie n’est pas déterminée, font l’objet d’un test de dépréciation
une fois par an, lors de la clôture annuelle. Les tests sont réalisés au niveau des Unités
Génératrices de Trésorerie (UGT).




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Les tests de perte de valeur sont réalisés en comparant la valeur nette comptable des actifs de
l’UGT à leur valeur recouvrable déterminée essentiellement à partir de projections actualisées
de flux de trésorerie futurs d’exploitation sur une durée de 5 ans et d’une valeur terminale.

La méthode des cash-flow futurs actualisés, retenue pour les tests sur goodwill, repose sur les
principes suivants :
Les cash-flow sont issus de budgets et prévisions à moyen terme (5 ans) élaborés par
la direction du Groupe.
Les free cash-flow ne tiennent pas compte des éventuels éléments financiers.
Le taux d’actualisation est déterminé en incluant des hypothèses de taux d’intérêt et de
risque répondant à la définition du WACC qui s’élève à 9,5 % pour 2010 (taux fourni
par notre animateur de marché).
Un taux d’actualisation unique a été utilisé pour toutes les UGT.
La valeur terminale est calculée par capitalisation du flux de la cinquième année au
taux de 9,5 % (WACC) puis par actualisation sur la base de ce même taux.
La progression du chiffre d’affaires retenue est en accord avec l’organisation et les
investissements actuels. Elle ne tient donc compte que des investissements de
renouvellement et non de ceux de croissance.

Lorsque la valeur recouvrable est inférieure à la valeur nette comptable de l’UGT, une perte
de valeur est enregistrée en compte de résultat pour la différence. Cette dépréciation est
imputée en priorité à la dépréciation du goodwill existant. Les pertes de valeur relatives aux
goodwill sont irréversibles. Les pertes de valeur relatives aux immobilisations corporelles et
incorporelles amortissables donnent lieu à modification prospective du plan d’amortissement ;
elles peuvent être reprises ultérieurement si la valeur recouvrable redevient plus élevée que la
valeur nette comptable (dans la limite de la dépréciation initialement comptabilisés).

2.7- Actifs courants

2.7.1 – Stocks

Conformément à la norme IAS 2 « stocks », les stocks sont évalués au plus faible des deux
valeurs suivantes : coût ou valeur nette de réalisation.

Stocks de matières premières : le coût d’achat des stocks est déterminé selon la méthode du
prix moyen pondéré.
Stocks de produits intermédiaires : le coût des produits intermédiaires englobe le coût des
matières, les coûts directs de main d’œuvre, les autres coûts directs et les frais généraux de
production.
En cours de production : les en cours de production englobent le coût des matières, les coûts
directs de main d’œuvre, les autres coûts directs et les frais généraux de production.

La valeur nette de réalisation est le prix de vente estimé dans le cours normal de l’activité,
diminué des coûts estimés nécessaires pour réaliser la vente.

Une provision pour dépréciation est pratiquée lorsqu’un risque d’obsolescence est identifié.




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2.7.2 – Clients et comptes rattachés

Ce poste comprend les créances clients et les factures à établir.
Les créances clients sont comptabilisées pour leur montant initial sous déduction des
provisions pour dépréciation des montants non recouvrables.
Une provision pour dépréciation est pratiquée lorsqu’un risque de non recouvrement est
identifié.
Les créances irrécouvrables sont constatées en perte lorsqu’elles sont identifiées comme
telles. La majeure partie des créances clients bénéficie de la couverture assurance
insolvabilité.
Les factures à établir correspondent aux travaux réalisés qui n’ont pas encore fait l’objet
d’une facturation au client.

2.7.3 – Actifs financiers courants

Il s'agit des obligations à taux fixes (actifs financiers détenus jusqu'à leur échéance), du
portefeuille de placements (actifs financiers évalués à la juste valeur constatée en résultat) et
du portefeuille de placements structurés à capital garanti (actifs financiers détenus jusqu'à leur
échéance).

Selon IAS 39, un actif financier évalué à la juste valeur est un actif détenu à des fins de
transactions.

Selon IAS 39, un actif financier détenu jusqu'à l'échéance est un actif financier non dérivé à
paiements fixes ou déterminables et à échéance fixée que la société a la volonté de conserver
jusqu'à l'échéance.

2.7.4 – Trésorerie et équivalents de trésorerie

Conformément à la norme IAS 7, ce poste comprend les liquidités en comptes courants
bancaires, les valeurs mobilières de placement (parts d’OPCVM de trésorerie, OPCVM
équilibré) et les titres de créances négociables, qui sont mobilisables ou cessibles à très court
terme et ne présentent pas de risque significatif de perte de valeur en cas d’évolution des taux
d’intérêt.
Ces derniers sont valorisés à leur juste valeur, à savoir la valeur liquidative à la date de
clôture.

2.8 Passifs non courants : Indemnités de départ à la retraite (IDR)

Les engagements du Groupe en matière d’indemnités de départ à la retraite relèvent du régime
à prestations définies et font l’objet d’une comptabilisation en provision dans les comptes
consolidés. Ils sont déterminés selon la méthode des unités de crédit projetées qui tient
compte des hypothèses actuarielles suivantes :

Age de départ en retraite : 65 ans, dans le cadre d’un départ à l’initiative du salarié
Droits à l’indemnité de départ à la retraite : en fonction des conventions collectives
applicables au sein du Groupe,
Taux de rotation des effectifs : Turn Over Moyen (issu de statistiques par âge),
Coefficient de survie : table INSEE 2009,




11
Coefficient d’actualisation : 4.15 % contre 4.10 % en 2010
Coefficient de revalorisation des salaires : 2.50 % identique à celui de 2010
Taux de charges sociales : 45 % identique à celui de 2010.

La société ayant opté à compter de 2007 pour l’amendement à l’IAS 19 publié en décembre
2004, les variations de provision relatives aux écarts actuariels sont comptabilisées
directement en capitaux propres.

2.9 Passifs courants et non courants

2.9.1 – Passifs financiers (courants et non courants)

Conformément à la norme IAS 39, les passifs financiers non courants comprennent la fraction
à plus d’un an :
des emprunts
des autres passifs.

Les passifs financiers courants comprennent :
la part à moins d’un an des emprunts ;
les découverts bancaires ;
les passifs courants (les dettes fournisseurs ayant un caractère à court terme, leur
valeur comptable coïncide avec leur valeur de marché) ;
la part à moins d’un an des autres passifs.

2.9.2 – Provisions et passifs éventuels (courants et non courants)

Conformément à la norme IAS 37 “Provisions, passifs éventuels et actifs éventuels”, une
provision est comptabilisée lorsque le Groupe a une obligation à l’égard d’un tiers, dont il est
probable ou certain qu’elle provoquera une sortie de ressources au bénéfice de ce tiers, sans
contrepartie au moins équivalente attendue de celui-ci et lorsqu’une estimation fiable du
montant peut être faite.

Ces provisions couvrent essentiellement les litiges, les contentieux et la provision pour
garantie accordée aux clients. Les litiges et contentieux concernent les litiges clients, les
litiges avec le personnel (prud’homme), les litiges avec les administrations (fiscal, urssaf).
Pour les litiges clients et prud’hommaux, le montant du risque provisionné est évalué en
fonction de la demande de la partie adverse.
Pour les litiges avec les administrations, les redressements sont pris en charge dans l’exercice
lorsqu’ils sont acceptés, ou font l’objet d’une provision lorsqu’ils sont contestés.

2.10 Compte de résultat

2.10.1 – Reconnaissance des produits

Les produits de l’activité sont enregistrés conformément à l’IAS 18.
Les produits des activités ordinaires se décomposent en deux sous-ensembles : le chiffre
d’affaires et les autres produits des activités ordinaires (production immobilisée et autres
produits d’activité généralement non significatifs).




12
Le chiffre d’affaires représente le montant cumulé des ventes de biens et des prestations de
services.

Le fait générateur du chiffre d’affaires en application de l’IAS 18 est le suivant :
Ventes de biens : le produit est comptabilisé lorsque les risques et avantages inhérents
à la propriété du bien sont transférés à l’acheteur, soit dans la quasi-totalité des cas à la
livraison.
Prestations de services : le produit est comptabilisé en fonction du degré d’avancement
des chantiers ou des prestations, c’est-à-dire en fonction du degré d’avancement de la
transaction évalué sur la base des services fournis, rapporté au total des services à
fournir.

Dans le cas où des factures sont émises par anticipation au-delà de l’évaluation des travaux
effectués, le groupe enregistre des produits constatés d’avance au passif du bilan avec pour
contrepartie au compte de résultat, une diminution du chiffre d’affaires.
Les travaux facturés d’avance sur des affaires n’ayant pas encore de coût de production sont
classés au passif du bilan en avances et acomptes reçus.

2.10.2 – Résultat opérationnel courant

Le Groupe utilise le résultat opérationnel courant comme principal indicateur de performance.
Le résultat opérationnel courant correspond au résultat de l’ensemble consolidé avant prise en
compte :
des autres produits et charges opérationnels non courants ;
du coût de l’endettement financier net ;
des autres produits et charges financiers ;
des impôts sur les bénéfices.

Par ailleurs, la direction du groupe considère qu’il n’y a pas lieu d’appliquer à la CVAE et à
la CFE un traitement comptable différent de celui de la taxe professionnelle. Ces deux
nouvelles contributions sont donc classées en charges opérationnelles sans changement au
traitement comptable retenu pour la taxe professionnelle.

2.10.3 –Autres produits et charges opérationnels non courants

Les autres charges et produits opérationnels non courants correspondent à des produits et
charges inhabituels, peu fréquents et de montant significatif, que l’entreprise présente de
manière distincte dans son compte de résultat pour faciliter la compréhension de la
performance opérationnelle courante, tels que :
les résultats de cession d’actifs corporels et incorporels
les coûts nets liés à des restructurations significatives.

2.10.4 – Résultat par action

Conformément à la norme IAS 33, le résultat de base par action est calculé en divisant le
résultat net du Groupe par le nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation au
cours de la période.
Le résultat dilué par action est calculé en divisant le résultat net du Groupe par le nombre
moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation, majoré de toutes les actions ordinaires
potentiellement dilutives. Aucun instrument dilutif n’est à ce jour en vigueur.




13
2.11 Secteurs opérationnels

Conformément à la norme IFRS 8, l'information sur les secteurs opérationnels présentée dans
la note 4 de l’annexe est établie sur la base des systèmes internes d’organisation et la structure
de gestion du groupe.

En conséquence, un secteur opérationnel est une composante distincte du groupe qui est
engagée dans la fourniture de produits ou services distincts et qui est exposée à des risques et
une rentabilité différents des risques de la rentabilité des autres secteurs opérationnels.

Chaque secteur opérationnel fait l'objet d'un suivi individuel en termes de reporting interne,
selon des indicateurs de performance communs à l'ensemble des secteurs.

Les données de gestion utilisées pour évaluer la performance d'un secteur sont établies
conformément aux principes IFRS appliqués par le groupe pour ses états financiers
consolidés.

Les transactions inter-secteurs sont peu significatives, et les prix de transfert entre les secteurs
sont les prix qui auraient été fixés dans des conditions de concurrence normale, comme pour
une transaction avec des tiers.

L’information sur les secteurs opérationnels est organisée par pôle d’activité. Outre la holding
Gérard Perrier Industrie, le groupe est géré en trois pôles principaux :
- Le pôle installation / maintenance qui regroupe les activités d’installation et de
maintenance d’équipements électriques,
- Le pôle fabrication qui regroupe les activités de conception et de fabrication
d’équipements électriques destinés à l’automatisation de machines et de process de
fabrication continus.
- Le pôle énergie qui regroupe les prestations de services destinées au secteur de
l'énergie et notamment du nucléaire.

Note 3.- Liste des sociétés consolidées.

3.1 – Périmètre

Sociétés Siren Nationalité Capital détenu Capital détenu
2011 % 2010 %
SAS Soteb 546 720 079 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SARL Soteb National Elektro 337 505 259 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SAS Geral 547 020 040 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SCI Rothonne 318 502 341 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SARL Gebat 313 642 415 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SAS Ardatem 339 809 527 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SAS Seirel 333 336 485 Française 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SARL Soteb National Elektro Suisse CH-660-0336010-6 Suisse 1 0 0 ,0 0 1 0 0 ,0 0
SAS SERA 490 224 045 Française 1 0 0 ,0 0
Les sociétés sont consolidées selon la méthode de l’intégration globale.
Toutes les sociétés consolidées clôturent leurs comptes au 31 décembre.
Les pourcentages de contrôle et d’intérêts des sociétés sont de 100 %.




14
3.2 – Complément d’information sur la variation de périmètre

3.2.1 – Acquisition de SAS SERA

La société SAS SERA, achetée le 6 mai 2011 par la SAS GERAL, présentait, en date du 31
décembre 2010, un bilan qui était le suivant :

SARL SERA
ACTIF 31/ 12/ 2010 PASSIF 31/ 12/ 2010
ACTIF IMMOBILISE 1 264 804 CAPITAUX PROPRES 664 254
PRC 15 166
ACTIF CIRCULANT 3 043 946 DETTES 3 629 482
COMPTES DE REGUL. 166 COMPTES DE REGUL. 14
TOTAL ACTIF 4 308 916 TOTAL PASSIF 4 308 916

Par ailleurs la contribution au CA consolidé et au résultat consolidé de SERA le premier
semestre 2011 s’élève respectivement 1.373 K€ et à 38 K€.

3.2.2 – Augmentation du Capital de SERA

En fin de semestre, nous avons procédé à une augmentation de capital de SERA par
incorporation des réserves à hauteur de 460 K€, portant le capital de SERA à 500 K€.




15
Note 4.- Secteurs opérationnels

L’information sur les secteurs opérationnels, communiquée ci-après, est construite sur la base
des mêmes principes que ceux appliqués en 2010, car le groupe considère que cette approche
est conforme à l’application de la norme IFRS 8.

Le tableau ci-après présente les données au 30 juin 2011 :

Branche Branche Branche Holding Intra-groupe et
30/06/2011 Total
Installation / Maintenance Fabrication Energie Eliminations

Compte Résultat

Chiffre d'affaires 23 020 298 22 173 019 13 834 645 3 278 545 62 306 507
8 296 057
442 936 0 0
dont exportations 7 853 121
Dont Intra-groupe -310 156 -757 753 -1 100 -3 278 545 -4 347 554

Chiffre d'affaires net 22 710 142 21 415 266 13 833 545 0 57 958 953

713 659
Dotations amortissements 124 932 446 411 109 592 32 724

Résultat opérationnel 848 372 2 049 553 904 105 1 425 479 -493 999 4 733 510

Bilan

Valeur globale des actifs 27 808 146 39 680 296 15 937 397 8 584 348 -11 036 990 80 973 197

dont immobilisations 6 836 414 13 907 147 2 570 544 2 504 828 -13 987 555 11 831 378

dont clients 38 662 393
15 123 721 13 768 195 10 651 283 1 509 396 -2 390 202

Valeur globale des passifs -27 808 146 -39 680 296 -15 937 397 -8 584 348 11 036 990 -80 973 197

dont fournisseurs -5 114 623 -7 119 813 -1 401 626 -691 003 2 082 583 -12 244 482

Investissements Financiers 0 2 000 000 0 0 2 000 000
Investissements Autres 153 664 161 534 416 142 47 205 778 545



Le tableau ci après présente les données au 31 décembre 2010 :
Branche Branche Branche Holding Intra-groupe et
31/12/2010 Total
Installation / Maintenance Fabrication Energie Eliminations

Compte Résultat

Chiffre d'affaires 42 494 385 37 172 132 23 697 564 6 287 122 109 651 203
14 918 677
1 509 414 0 0
dont exportations 13 409 263
Dont Intra-groupe -534 777 -2 411 899 -99 559 -6 287 122 -9 333 357

Chiffre d'affaires net 41 959 608 34 760 233 23 598 005 0 100 317 846

1 173 501
Dotations amortissements 262 911 732 763 110 645 67 182

9 505 514
Résultat opérationnel 3 391 247 2 515 793 988 561 3 324 873 -714 960

Bilan

Valeur globale des actifs 29 742 671 32 649 496 14 657 407 10 446 558 -11 258 459 76 237 673

dont immobilisations 7 066 760 11 090 386 2 263 179 2 483 030 -12 190 172 10 713 183

dont clients 37 561 245
17 063 712 12 302 748 9 060 827 1 880 140 -2 746 182

-76 237 673
Valeur globale des passifs -29 742 671 -32 649 496 -14 657 407 -10 446 558 11 258 459

dont fournisseurs -5 030 289 -6 539 317 -1 590 472 -747 284 2 746 331 -11 161 031

Investissements Financiers 0 0 0 0 0 0

Investissements Autres 563 851 312 460 1 781 188 119 573 2 777 072




16
Le tableau ci-après présente les données au 30 juin 2010 :

Branche Branche Branche Holding Intra-groupe et
30/06/2010 Total
Installation / Maintenance Fabrication Energie Eliminations

Compte Résultat

Chiffre d'affaires 19 128 943 15 670 364 11 707 251 2 714 648 49 221 206
6 037 414
342 145 0 0
dont exportations 5 695 269
Dont Intra-groupe -189 686 -680 556 0 -2 714 648 -3 584 890

Chiffre d'affaires net 18 939 257 14 989 808 11 707 251 0 45 636 316

581 360
Dotations amortissements 133 598 363 040 52 449 32 273

Résultat opérationnel 1 746 877 777 149 472 808 1 534 540 -228 793 4 302 581

Bilan

Valeur globale des actifs 26 852 698 30 545 967 14 872 222 8 221 606 -11 097 617 69 394 876

dont immobilisations 6 706 444 11 227 564 1 275 769 2 507 150 -12 031 342 9 685 585

dont clients 32 383 849
15 252 604 9 927 240 8 274 465 1 344 743 -2 415 203

Valeur globale des passifs -26 852 698 -30 545 967 -14 872 222 -8 221 606 11 097 817 -69 394 676

dont fournisseurs -4 465 990 -5 762 736 -2 239 697 -462 961 2 871 765 -10 059 619

Investissements Financiers 17 296 0 2 100 799 20 195
Investissements Autres 299 944 90 875 711 216 105 211 1 207 246



Note 5.- Goodwill.

Valeurs brutes Au Augm entations Diminutions Au
(en euros) 31/12/2010 30/06/2011


Ecarts d'acquisitions 4 243 946 1 734 761 5 978 707
4 243 946 1 734 761 0 5 978 707
Total

Le coût d’acquisition des titres des pôles installation/maintenance, fabrication et énergie
(UGT) fait apparaître, par rapport à la juste valeur des actifs et passifs identifiables de ces
sociétés au jour de l’acquisition, un excédent de 5.978.707 € qui se décompose comme suit :

Pôle installation / maintenance : 1 392 516
Pôle Fabrication : 1 878 258
Pôle Energie : 2 694 812
Autres : 13 121
5 978 707
Le goodwill propre à l’acquisition SERA s’élève à 1.734.761€. Ce dernier est réputé
provisoire en raison d’une clause d’indexation de prix basée sur le résultat d’exploitation de
SERA au 31 décembre 2011. Cette clause prévoit un ajustement de prix.

Au cours du semestre écoulé, aucun indice de perte de valeur, susceptible de remettre en
cause les tests de dépréciation effectués au 31 décembre 2010, n'a été identifié concernant les
immobilisations à durée de vie déterminée et indéterminée (goodwill). La variation du taux
d’actualisation de plus ou moins 1 point serait sans incidence sur les conclusions du test de
dépréciation.




17
Note 6.- Impôts différés.

Les impôts différés sont comptabilisés conformément à l’IAS 12.
31 décembre Variation de l'exercice 30 juin
2010 Résultat Capitaux propres 2011
Impôts différés actifs 777 582 254 368 170 547 1 202 497
Impôts différés passifs - 312 807 - 66 596 2 115 - 377 288
Impôts différés nets 464 775 187 772 172 662 825 209

Les impôts différés actifs proviennent principalement des indemnités de fin de carrière ainsi que
des différences temporaires.
Les impôts différés passifs proviennent principalement de la réévaluation du bâtiment de Seirel.


Note 7.- Stocks.

Les stocks sont constitués des éléments suivants.
(en euros) 30 juin 31 décembre
2011 2010
Stocks matières 3 831 768 2 684 430
Produits intermédiaires 663 929 396 568
En cours de production 603 731 725 212

5 099 428 3 806 210
Total

Outre les dépréciations directes pratiquées usuellement dans nos comptes, et de caractères non
significatifs, nous avons été amenés à procéder, au 31 décembre 2010, à une dépréciation directe
complémentaire de 5.000 euros. Cette dernière a été maintenue au 30 juin 2011.
Les montants retenus au bilan sont par conséquent des montants nets de dépréciation.

Note 8.- Clients et comptes rattachés.

Les clients et comptes rattachés se décomposent comme suit.

(en euros) 30 juin 31 décembre
2011 2010
Créances commerciales 26 726 617 30 022 369
Provision pour dépréciation -102 700 -62 423
Factures à établir 12 038 476 7 601 299

Total 38 662 393 37 561 245




18
Entre 0 et Entre 31 Entre 91 Entre 181 Plus de
Net au T ota l Total
créances 30 jours et 90 et 180 et 360 360
30/06/10 créances
jours jours jours jours
non échues échues

3 636 581 2 530 048 626 803 399 253 85 539 -5 062
Clients et cptes 26 726 617 23 090 036
rattachés


Dans la mesure, où la quasi-totalité de nos clients fait l’objet d’une couverture d’assurance crédit
et au vu de l’historique en notre possession, il n’existe aucun risque significatif de non paiement
sur les créances.
Par ailleurs, compte tenu de la nature de l’activité et du mode de règlement des clients, le
risque de change est non significatif.

Note 9.- Actifs financiers courants, trésorerie et équivalent de trésorerie

30 juin 2011 31 décembre
brut provision net 2010
Obligation à taux fixe - -
Portefeuille de placements - -
Portefeuille de placements structurés à capital
garanti - -

Total actifs financiers courants - - - -

Banques et Liquidités 4 346 439 4 346 439 4 200 585
Dépôt à Terme, SICAV de trésorerie et
assimilées (monétaire régulier, CDN) 11 085 496 11 085 496 12 746 732

Total trésorerie et équivalents de trésorerie 15 431 935 - 15 431 935 16 947 317

Total liquidités et placements 15 431 935 - 15 431 935 16 947 317


La décomposition des titres composant les liquidités et les placements est la suivante :
Décompostion 30 juin 2011 31 décembre 2010
Liquidités 28.16% 24.79%
OPCVM de trésorerie et placement à capital garanti 71.84% 75.21%
Obligations à taux fixes
Actions
100.00% 100.00%



Eu égard à la nature et aux montants de sa trésorerie et de ses emprunts, le groupe estime ne
pas présenter de risques de liquidité. La gestion prudente de ce risque implique de conserver
un niveau suffisant de liquidités et d’être à même de dénouer rapidement les placements de
trésorerie.




19
Note 10.- Capital social.

Le capital social de Gérard Perrier Industrie SA au 30 juin 2011 est de 1 986 574 euros. Il est
constitué de 1 986 574 actions de 1 euro de nominal, ayant toutes les mêmes droits. Toutefois,
les actions nominatives détenues depuis plus de deux ans entre les mains d’un même actionnaire
confèrent un droit de vote double.

Mouvements de l'exercice Nombre d'actions Montants en euros
Capital Prime d'émission

30 juin 2010 1 986 574 1 986 574 877 667


31 décembre 2010 1 986 574 1 986 574 877 667


30 juin 2011 1 986 574 1 986 574 877 667



Options de souscription d’actions : au 30 juin 2011, il n’existe plus aucun plan d’options de
souscriptions en cours de validité en faveur d’un dirigeant.

Principaux actionnaires :
- SFGP (Société Financière Gérard Perrier) : 61,02 %
- Auto-détention (contrat de liquidité)..……. : 0,59 %
- Public………………………………………: 38,39 %

Note 11.- Engagements Sociaux.

Montant au Variation de Dotation de Montant au
Ecart Actuariel Reprise
31/12/2010 périmètre (1) l'exercice 30/06/2011
(en euros)
Indemnités de départ
à la retraite 1 423 017 221 049 86 520 245 735 1 976 321

total 1 423 017 221 049 86 520 245 735 0 1 976 321


(1) : Correspond au IDR à la date d'entrée dans le groupe de la Société SERA.


La provision pour indemnité de départ à la retraite (IDR) des salariés couvre les droits acquis
et les droits non définitivement acquis concernant les salariés en activité. Le groupe n’a aucun
engagement envers d’anciens salariés, les droits acquis étant définitivement payés lors du
départ à la retraite.
Par ailleurs, il n’existe pas au sein du groupe de régime d’avantages au personnel à cotisations
définies.




20
Note 12.- Provisions pour autres passifs non courants.

(en euros) Reprise de l'exercice
Pour Pour non
Montant au Dotation de Montant au
utilisation utilisation
31/12/2010 l'exercice 30/06/2011

Provisions pour garantie :
- Installations automatismes de
sécurité / remontées mécaniques 59 000 59 000
- Produit électronique de serie 68 180 2 546 70 726

Contrôles URSSAF en cours 45 547 45 547

Contrôles fiscaux en cours 64 386 64 386

Litiges clients 0 0 0

Litiges personnel 277 299 57 000 -155 606 178 693

Provision pour Impôts 495 479 8 889 -7 559 496 809

total 964 345 113 982 -163 165 0 915 162

Contrôles fiscaux en cours : une des sociétés du groupe fait l'objet d'un contrôle fiscal portant sur
les exercices 2007, 2008 et 2009. Seul le redressement portant sur l'année 2007 a été notifié à ce
jour. L'ensemble des chefs de redressement a été contesté mais une provision de 64.386 € a été
constituée au 31 décembre 2010 pour couvrir le risque éventuel

Contrôles Sociaux en cours : une des sociétés du groupe a fait l'objet d'un contrôle URSSAF
portant sur les exercices 2008, 2009 et 2010. L'ensemble des chefs de redressement a été contesté
mais une provision de 45.547 € a été constituée au 30 juin 2011 pour couvrir le risque éventuel.




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Note 13.- Autres produits et charges opérationnels.

Ils se décomposent comme suit.
30 Juin 2011 30 Juin 2010 31 décembre 2010

Produits de cession d'immo.corporelles 1 505 33 781 36 531
Quote part subventions virée au résultat 7 647
Indemnités recues pour litiges 65 091 20 738
Indemnités sur sinistre 26 668 1 220 794 1 199 734
Produits divers 201 10 300 25
Reprise provisions 44 131
Reprise provisions contrôle fiscal 34 101
Total autres produits opérationnels 145 243 1 264 875 1 291 129
VNC immobilisations corporelles - 916 - 45 198 - 73 739
Charges exceptionnelles diverses - 6 079 - 1 693 - 8 876
Indemnités versées pour litiges - 89 021 - 1 573 - 41 164
Redressements fiscaux / sociaux - 3 340 - 31 237
Dotations provisions contrôle fiscal - 64 386
Total autres charges opérationnelles - 99 356 - 48 464 - 219 402

Total 45 887 1 216 411 1 071 727




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Note 14.- Produits et charges financiers.

31 décembre
30 juin 2011 30 juin 2010 2010

Revenus des équivalents de trésorerie 157 576 91 340 218 934
PV latentes sur instruments de trésorerie 9 003 1 836 740
Produits nets sur cession d'actifs financiers détenus à des
fins de transactions et sur équivalent de trésorerie 4 875 10 293 17 558

Variations des PV Latentes sur instruments de trésorerie 0 -2 921 -2 812
Charges nettes sur cession d'actifs financiers détenus à
des fins de transactions 0 0 0
Produits de trésorerie et equivalent de trésorerie net 171 454 100 548 234 420
Intérêts des emprunts -135 233 -116 735 -219 963
Intérêts des dettes financières -5 946 -5 360 -10 860
Coût de l'endettement financier brut -141 179 -122 095 -230 823

COUT DE L'ENDETTEMENT FINANCIER NET 30 275 -21 547 3 597
Variation de la juste valeur d'actifs financiers détenus à
des fins de transactions
Escomptes 19 0 0
Différences positives de change 56 879 163 230 203 939
Autres produits financiers 56 898 163 230 203 939
Différences négatives de change -94 828 -27 804 -127 663
Escomptes 0 0 -37
Mali de fusion
Variation de la juste valeur d'actifs financiers détenus à
des fins de transactions
Autres charges financieres -94 828 -27 804 -127 700

RESULTAT FINANCIER -7 655 113 879 79 836

Note 15.- Résultat par action.

Le résultat de base par action est calculé en divisant le bénéfice net revenant aux actionnaires
de la société par le nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation au cours de
l’exercice, hors actions propres rachetées par la société.

Sont présentés ci-dessous, les résultats et actions ayant servi au calcul des résultats de base et
dilué par action.
30 juin 30 juin 31 décembre
2011 2010 2010
Résultat net consolidé 3 130 300 2 862 734 6 345 376
Nombre d'actions à l'ouverture 1 986 574 1 986 574 1 986 574
Actions en auto-détention 11 773 2 218 12 588
Nombre moyen d'actions 1 974 801 1 984 356 1 973 986
Résultat de base par action 1.59 1.44 3.21
Résultat dilué par action 1.59 1.44 3.21




23
Note 16.- Transactions avec les parties liées.

Les transactions entre le groupe Gérard Perrier Industrie, son principal actionnaire (SFGP) et ses
membres du Directoire et du Conseil de Surveillance non dirigeants sont non significatives.


Note 17.- Engagement Hors bilan

Au cours du premier semestre 2011, aucune variation significative n’est à signaler en termes
d’engagement Hors Bilan. Les engagements Hors Bilan sont donc sensiblement identiques à
ceux présentés au 31 décembre 2010, à l’exception d’un garantie d’actif et de passif signée
dans le cadre du rachat de SERA.


Note 18.- Evénements postérieurs à la clôture du bilan.

Entre le 1er juillet et le jour d’arrêté des comptes, aucun événement postérieur à la clôture n’est à
signaler.




24
B.- Rapport d’activité sur les comptes semestriels 2011.

1. Activité du 1er semestre 2011: Très belle progression de l’activité et des
résultats.

Le Conseil de Surveillance de la société s’est réuni en date du 29 septembre 2011 afin de
procéder à l’examen du rapport d’activité et des comptes consolidés arrêtés au 30 juin 2011
par le Directoire.

Commentaires sur les chiffres consolidés.

Le chiffre d’affaires du premier semestre 2011 du groupe GERARD PERRIER INDUSTRIE,
a connu une très belle progression par rapport à la même période de l’exercice précédent.

Toutes les branches d’activité ont contribué à la progression globale qui atteint 27% (24% à
périmètre constant).



Par branche d’activité, l’évolution a été la suivante :

- l’activité installation/maintenance (SOTEB), progresse de plus de 20% et maintient
depuis le début d’année un rythme très soutenu grâce à un plein de commandes
industrielles dans le secteur des travaux neufs,

- l’activité fabrication d’équipements électriques et électroniques (GERAL, SEIREL,
SERA), a connu une forte hausse de 43% par rapport au 1er semestre de l’an dernier
qui avait été, il faut le rappeler, particulièrement faible avant que l’activité ne
s’accélère fortement sur le reste de l’année ; la société SERA acquise début mai 2011
a contribué au 30 juin 2011 pour 1,3 M€ de chiffre d’affaires pour 2 mois d’activité
consolidés ; hors SERA, la progression a été de 34%,

- l’activité du pôle Energie (ARDATEM), qui englobe les prestations de services
destinées au secteur de l’énergie et notamment du nucléaire, est en forte progression
de 18% ; le pôle continue de se développer à un rythme très soutenu et profite de son
excellent positionnement sur le secteur de l’énergie.


Au niveau de la rentabilité, le résultat opérationnel courant est en très forte hausse de 53 % et
profite d’une contribution positive de chacun des 3 pôles d’activité.

Le bénéfice net courant atteint 3 130 K€ contre 2 062 K€ l’an dernier (après retraitement pour
2010 de la plus-value nette exceptionnelle de 800 K€ liée à la perception d’une indemnité
d’assurance), soit une progression de plus de 51%.




25
2. Perspectives sur l'ensemble de l'année 2011 : L’activité reste soutenue au
second semestre.


La Direction attend globalement une activité soutenue au second semestre sur l’ensemble des
activités.

En effet :

- pour le pôle Installation/maintenance, la Direction table sur une hausse de l’ordre de 5-
7% sur l’ensemble de l’exercice (comparatif S2 2010 moins favorable),

- pour le pôle Fabrication d’équipements électriques et électroniques, La Direction table
désormais sur une progression annuelle d’au moins 20% (comparatif S2 2010 moins
favorable), et 10-12% à périmètre constant (hors SERA),

- pour le pôle Energie sur l’ensemble de l’année, la Direction prévoit une progression de
l’ordre de 15%, soit un chiffre d’affaires d’environ 27 M€.

Sur l’ensemble de l’exercice, la Direction s’attend à une progression annuelle du chiffre
d’affaires de l’ordre de 13%( 9% à périmètre constant), et à un niveau de marge nette
courante comprise entre 5 et 5,5%.


3. Gestion des risques.

Pour être conforme à l’article 222-6 du règlement général de l’AMF, la Direction précise que
pour les six mois restants de l’exercice et dans le cadre de ses activités, le groupe GERARD
PERRIER INDUSTRIE n’est pas confronté à des facteurs de risques significatifs liés à la
nature de ses activités, tant sur le plan juridique, que dans les domaines industriel,
environnemental, ou encore sur le plan financier (risque matières premières, taux, devises,
exposition produits de placement).




26
C.- Attestation du responsable du rapport financier semestriel.

Nous attestons, à notre connaissance, que les comptes résumés établis pour le semestre écoulé
sont établis conformément aux normes comptables applicables et donnent une image fidèle du
patrimoine, de la situation financière et du résultat de la société et de l’ensemble des
entreprises comprises dans la consolidation, et que le rapport semestriel d’activité ci-joint
présente un tableau fidèle des événements importants survenus pendant les six premiers mois
de l’exercice, de leur incidence sur les comptes, des principales transactions entre parties liées
ainsi qu’une description des principaux risques et des principales incertitudes pour les six
mois restants de l’exercice.




Fait à Genas, le 28 septembre 2011

Grégoire CACCIAPUOTI

Président du Directoire




27
D.- Rapport des commissaires aux comptes sur l'information
financière semestrielle



Aux actionnaires,

En exécution de la mission qui nous a été confiée par votre Assemblée Générale et en
application de l’article L.451-1-2 III du Code monétaire et financier, nous avons procédé à :
- l'examen limité des comptes semestriels consolidés résumés de la société GERARD
PERRIER INDUSTRIE, relatifs à la période du 1er janvier 2011 au 30 juin 2011, tels qu'ils
sont joints au présent rapport ;
- la vérification des informations données dans le rapport semestriel d’activité.
Ces comptes semestriels consolidés résumés ont été établis sous la responsabilité du
Directoire. Il nous appartient, sur la base de notre examen limité, d'exprimer notre conclusion
sur ces comptes.



1. Conclusion sur les comptes
Nous avons effectué notre examen limité selon les normes d’exercice professionnel
applicables en France.
Un examen limité consiste essentiellement à s’entretenir avec les membres de la direction en
charge des aspects comptables et financiers et à mettre en œuvre des procédures analytiques.
Ces travaux sont moins étendus que ceux requis pour un audit effectué selon les normes
d’exercice professionnel applicables en France. En conséquence, l’assurance que les comptes,
pris dans leur ensemble, ne comportent pas d’anomalies significatives obtenue dans le cadre
d’un examen limité est une assurance modérée, moins élevée que celle obtenue dans le cadre
d’un audit.
Sur la base de notre examen limité, nous n'avons pas relevé d'anomalies significatives de
nature à remettre en cause la conformité des comptes semestriels consolidés résumés avec la
norme IAS 34, norme du référentiel IFRS tel qu’adopté dans l’Union européenne relative à
l’information financière intermédiaire.

II. Vérification spécifique


Nous avons également procédé à la vérification des informations données dans le rapport semestriel
d’activité commentant les comptes semestriels consolidés résumés sur lesquels a porté notre examen
limité.

Nous n'avons pas d'observation à formuler sur leur sincérité et leur concordance avec les comptes
semestriels consolidés résumés.




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Fait à Chambéry et Valence, le 29 septembre 2011




GROUPE SR CONSEIL MAZARS & SEFCO
représenté par représenté par




Philippe PAUTRAT Frédéric MAUREL




29