U.S.-WIDE SETTLEMENT AGREEMENT REACHED
CONCERNING OPIOID- RELATED WORK BY ROSETTA,
BRINGING TO A CLOSE THREE YEARS OF DISCUSSIONS
NEW YORK, February 1, 2024 – A comprehensive resolution has been reached with all 50 State Attorneys
General, the District of Columbia, and certain U.S. Territories related to past work undertaken for opioid
manufacturers primarily by former advertising agency Rosetta, bringing to a close almost three years of
discussions.

The Attorneys General have recognized Publicis Health’s good faith and responsible corporate citizenship in
reaching this resolution.

As the former owner of Rosetta, which was shuttered ten years ago, Publicis Health issued the following
statement:

“After three years of discussions, this settlement brings the matter to a close with a net payment of €148
million. The full settlement amount should quickly and directly contribute to the States’ opioid relief effort.

This settlement, in which the Attorneys General recognized Publicis Health’s ‘good faith and responsible
corporate citizenship’, is in no way an admission of wrongdoing or liability. We will, if need be, defend
ourselves against any litigation that this agreement does not resolve.

“The work for pharmaceutical companies addressed by this settlement was at all times fully compliant with
the law. It was undertaken primarily by Rosetta, a small agency shuttered ten years ago, that was already
working with pharmaceutical clients that manufactured opioid medication when it was acquired thirteen
years ago in 2011. Its work related to these products was used solely with healthcare providers, not
consumers, using communication tools and language expressly approved by the FDA. Rosetta’s role was
limited to performing many of the standard advertising services that agencies provide to their clients, for
products that are to this day prescribed to patients, covered by major private insurers, Medicare, and
authorized by State Pharmacy Boards.

“We recognize the broader context in which that lawful work took place. The fight against the opioid crisis in
the United States requires collaboration across industries, lawmakers, and communities, and we are
committed to playing our part. That is why we worked to reach this agreement, and why we are also
reaffirming our long-standing decision to turn down any future opioid-related projects.”



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About the Financial Effects of this U.S.-wide settlement
In the context of this settlement, following the payment of $343 million to the States, Publicis Health has
been compensated by its insurers for $130 million. Consequently, it has recorded a non-recurring charge of
$213 million before tax in the fourth quarter of 2023. After tax, this non-recurring charge amounted to $160
million in cash, or €148 million euros. These transactions will be fully reflected in Publicis Groupe’s 2023
financial statements. Given its non-recurring nature, the settlement will be accounted for below the
Operating Margin and will be adjusted from the free cash flow before change in WCR in 2023. Thus, the
settlement has no impact on the Groupe’s 2023 guidance.




/////// FRENCH TRANSLATION FOLLOWS //////




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UN ACCORD DE RÈGLEMENT CONCLU AUX ÉTATS-UNIS
CONCERNANT LE TRAVAIL EFFECTUÉ PAR
L’ AGENCE ROSETTA DANS LE DOMAINE DES OPIOIDES,
CLOTURANT TROIS ANNÉES DE DISCUSSIONS
NEW YORK, le 1er février 2024 -- Un accord a été conclu entre les procureurs généraux des 50 États
américains, le district de Columbia et certains territoires des États-Unis concernant le travail réalisé par
l'ancienne agence de publicité Rosetta pour le compte de fabricants d'opioïdes, clôturant ainsi trois années
de discussions.

Les procureurs généraux ont reconnu la bonne foi et l’attitude responsable et citoyenne de Publicis Health
lors de la conclusion de cet accord.

En tant qu'ancien propriétaire de Rosetta, une agence fermée depuis dix ans, Publicis Health a déclaré :

" Cet accord de règlement nous permet de clore trois années de discussion, et se conclut par un paiement
net de 148 millions d’euros. Le montant total de l’accord devrait contribuer de manière directe et rapide
à renforcer l’aide apportée à ces Etats pour lutter contre les conséquences de la crises des opioïdes.

La conclusion de cet accord, dans lequel les procureurs généraux ont explicitement reconnu la ‘bonne foi
et l’attitude responsable et citoyenne de Publicis Health’, ne constitue en aucun cas une reconnaissance
de faute ou de responsabilité. Nous nous défendrons, si nécessaire, contre tout litige que cet accord ne
parviendrait pas à résoudre.

Le travail effectué pour le compte d’entreprises pharmaceutiques et visé par ce règlement a toujours été
parfaitement conforme à la loi. Il a été mené principalement par Rosetta, une petite agence fermée
depuis dix ans, qui travaillait déjà avec des clients pharmaceutiques produisant des traitements à base
d’opioïdes lorsqu'elle a été rachetée il y a treize ans en 2011. Son travail dédié à ces produits n’a été
utilisé qu’auprès de prestataires de soins de santé, jamais auprès des consommateurs, ayant recours
uniquement à des outils de communication et des terminologies approuvés par la FDA (Food and Drug
Administration). Le rôle de Rosetta s’est limité à la réalisation de services standard qu’une agence de
publicité propose à ses clients, et ce, pour des produits qui sont à ce jour toujours prescrits aux patients,
couverts par les principaux assureurs privés, Medicare, et autorisés par les autorités pharmaceutiques
des États.

"Nous reconnaissons le contexte plus large dans lequel ce travail conforme à la loi a été mené. La lutte
contre les opioïdes aux États-Unis nécessite une collaboration entre les industries, le législateur et les
communautés, et nous sommes déterminés à y contribuer. C'est pourquoi nous avons œuvré pour




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parvenir à cet accord et que nous réaffirmons notre engagement de longue date de refuser tout projet
futur lié aux opioïdes."

A propos de l’incidence financière de cet accord aux Etats-Unis.
Dans le cadre de cet accord, à la suite du règlement de 343 millions de dollars aux Etats, Publicis Health a été
remboursé à hauteur de 130 millions de dollars par ses assureurs. Par conséquent, le Groupe a comptabilisé
une provision non récurrente de 213 millions de dollars avant impôts au quatrième trimestre 2023. Après
impôts, cette charge non récurrente correspond à un décaissement de 160 millions de dollars soit 148 millions
d’euros. Ces transactions seront entièrement prises en compte dans les comptes de Publicis Groupe au 31
décembre 2023. Compte tenu de sa nature non récurrente, les effets de ces accords seront comptabilisés en
dessous de la marge opérationnelle et seront ajustées du free cash flow avant variation du BFR en 2023. Ils
n’auront ainsi pas d'impact sur la guidance 2023 du Groupe.

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Kipp Jarecke-Cheng Corporate Communications, Publicis Health kipp.cheng@publicishealth.com

Kekst CNC publicishealth@kekstcnc.com




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